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Forum pour les questions techniques sur les 930, 993, 996, 991, 997 turbo et autres bi-turbo...
Chers amis, j’ai vécu il y a quelques semaines de cela, une petite mésaventure, lorsque qu’au détour d’un feu rouge, un néanmoins aimable automobiliste vint chatouiller l’arrière train de ma Pomponnette. De cet incident découle forcément un passage au garage pour réparation de la bête et non du préjudice dont je fais mon affaire, salope ! (La je m’adresse à Pomponnette)
C’est donc ce passage que je vais vous narrer à ma manière, c’est à dire sur un fond onirique à tendance kafkaïenne et freudienne à la fois. Evidemment pour les moins avertis, je mettrai quelques photos pour étayer mon récit, car je sais combien ma compétence si pointue en mécanique pourrait être difficile à suivre.
Humhum, je me lance :
Alors aujourd'hui j'ai démonté mon pare-choc arrière pour le changer. Je savais pas quoi faire, il faisait pas beau et faut bien s'occuper entre deux pauses café…J'en ai profité pour faire l'examen des éléments visibles une fois la culotte de plastique baissée. Et qu'est ce que je m'aperçois-je ? La fixation de l'échangeur inter-spatio-temporelle gauche du turbo à réaction variable est fissurée ! Mon sang ne fit qu'un tour et demi (ou deux, j'ai pas vraiment compté), et devant cette abomination micro-cosmétique, je lui mis un gros coup de latte dans sa face de bâtard ! Et le vla par terre à m’implorer… Mais, c'est pas au vieux singe qu'on apprend à faire la grimace et comme disait le surveillant principal du collège où que j'allais quand j'avais fait des études :"Joue pas au con avec moi ok, t'as perdu d'avance !". Donc, fort de ce sentiment de toute puissance face à ce vulgaire amas de pièces détachées vétustes et sans intérêts, je décidu (si si on a le droit en Coluchien) d'un commun accord avec moi même, de remplacer le tout par une cafetière Rowenta, afin d'optimiser la puissance du turbo gauche, communément appelé "Mélenchon qui se Soumet pas à la Tentation" ou MST. Ce fût une lourde décision. Mais ne soyons pas primaire et analysons le bon côté des évènements. Cette découverte en appelant une autre, le démontage de l'échangiste me permit aussi, et j’en remercie Denise, de constater que le pare-chaleur, c’est vrai qu’il fait chaud rue Quincampoix, avait aussi une sale gueule, que je ne tarda (ou tardi en Coluchois) pas non plus à le défoncer.
Mes amis, je vous le dis, chaque avancée dans la découverte de l’inconnu peut vous surprendre et vous émerveiller, mais aussi vous choquer, vous énerver ou vous attrister. Tout ça pour dire, bah je sais pas en fait.
Donc je continue : Une fois digéré le fait qu’il me faille appeler Ferdinand pour lui commander le nécessaire à la remise en état de mon véhicule automobile, je profita sans hésiter de cette opportunité, pour me transformer en carrossier de minuit, un peu comme une citrouille américaine avec des grandes roues qui transporterai un cendrier, une sorte de Uberpop des temps anciens. Gavotte et Anesthésie sentant le vent venir me firent une piqure au beurre de Bretagne. Mais je ne me suis pas démonté et ai passé au four la culotte de la petite salope de Pomponnette qui était partie avec un joli coeur, le temps d’une escapade (Etait-ce rue Quincampoix ou de Rivoli, je ne m’en souviens plus).
Ne pouvant m’enlever de l’esprit ce chatouillage arrière, je décidai de m’occuper de l’avant. La lame de la jupe de Pomponnete ne me laissant jamais indifférent il me prit l’envie de l’aiguiser, mais Ferdinand n’en pipant pas un mot, soulagea les miens en m’en proposant une neuve que j’accueilli avec joie et surtout un chèque de 350 balles.
Demain, je m’occuperai de ses jambes à la Pomponnete. Je vais lui mettre des semelles toutes neuves sur ces pantoufles de vair en alu, que j’aurai préalablement peint couleur… alu. Je sais c’est banal mais je manque de temps pour rester original et je vais être en retard pour aller chercher Madame au travail, la vraie Madame, celle qui travaille chez le Boulanger !
Allez, merci à ceux qui ont eu le courage de me lire jusqu’au bout. Quelques photos des travaux effectués :
Armes sensibles et cours (en bourse) fragiles, attention une petite photo fesses à l’air de la Pomponnette va suivre: "Ah te voilà, garce, salope, ordure ! Qu’est ce qu’elle a fait à son Pompon, la Pomponnette hein ?!
Je vais te la peindre moi ta culotte, tu vas voir !
Pendant que ça sèche on se penche sur l'échangeur, qui s'est fait casser ses petites pattes arrières !
donc on le dégage comme convenu,
Pour constater qu'on va aussi changer le pare-chaleur qui est tut purrie !
Rock n roll ! il est pas beau mon turbo !?
http://s29.postimg.org/5qkp9c6xj/5_prot ... _gag_e.jpg
Les pièces neuves sont là :
et posées, je vais pouvoir la baptiser la Pomponnette…
C’est donc ce passage que je vais vous narrer à ma manière, c’est à dire sur un fond onirique à tendance kafkaïenne et freudienne à la fois. Evidemment pour les moins avertis, je mettrai quelques photos pour étayer mon récit, car je sais combien ma compétence si pointue en mécanique pourrait être difficile à suivre.
Humhum, je me lance :
Alors aujourd'hui j'ai démonté mon pare-choc arrière pour le changer. Je savais pas quoi faire, il faisait pas beau et faut bien s'occuper entre deux pauses café…J'en ai profité pour faire l'examen des éléments visibles une fois la culotte de plastique baissée. Et qu'est ce que je m'aperçois-je ? La fixation de l'échangeur inter-spatio-temporelle gauche du turbo à réaction variable est fissurée ! Mon sang ne fit qu'un tour et demi (ou deux, j'ai pas vraiment compté), et devant cette abomination micro-cosmétique, je lui mis un gros coup de latte dans sa face de bâtard ! Et le vla par terre à m’implorer… Mais, c'est pas au vieux singe qu'on apprend à faire la grimace et comme disait le surveillant principal du collège où que j'allais quand j'avais fait des études :"Joue pas au con avec moi ok, t'as perdu d'avance !". Donc, fort de ce sentiment de toute puissance face à ce vulgaire amas de pièces détachées vétustes et sans intérêts, je décidu (si si on a le droit en Coluchien) d'un commun accord avec moi même, de remplacer le tout par une cafetière Rowenta, afin d'optimiser la puissance du turbo gauche, communément appelé "Mélenchon qui se Soumet pas à la Tentation" ou MST. Ce fût une lourde décision. Mais ne soyons pas primaire et analysons le bon côté des évènements. Cette découverte en appelant une autre, le démontage de l'échangiste me permit aussi, et j’en remercie Denise, de constater que le pare-chaleur, c’est vrai qu’il fait chaud rue Quincampoix, avait aussi une sale gueule, que je ne tarda (ou tardi en Coluchois) pas non plus à le défoncer.
Mes amis, je vous le dis, chaque avancée dans la découverte de l’inconnu peut vous surprendre et vous émerveiller, mais aussi vous choquer, vous énerver ou vous attrister. Tout ça pour dire, bah je sais pas en fait.
Donc je continue : Une fois digéré le fait qu’il me faille appeler Ferdinand pour lui commander le nécessaire à la remise en état de mon véhicule automobile, je profita sans hésiter de cette opportunité, pour me transformer en carrossier de minuit, un peu comme une citrouille américaine avec des grandes roues qui transporterai un cendrier, une sorte de Uberpop des temps anciens. Gavotte et Anesthésie sentant le vent venir me firent une piqure au beurre de Bretagne. Mais je ne me suis pas démonté et ai passé au four la culotte de la petite salope de Pomponnette qui était partie avec un joli coeur, le temps d’une escapade (Etait-ce rue Quincampoix ou de Rivoli, je ne m’en souviens plus).
Ne pouvant m’enlever de l’esprit ce chatouillage arrière, je décidai de m’occuper de l’avant. La lame de la jupe de Pomponnete ne me laissant jamais indifférent il me prit l’envie de l’aiguiser, mais Ferdinand n’en pipant pas un mot, soulagea les miens en m’en proposant une neuve que j’accueilli avec joie et surtout un chèque de 350 balles.
Demain, je m’occuperai de ses jambes à la Pomponnete. Je vais lui mettre des semelles toutes neuves sur ces pantoufles de vair en alu, que j’aurai préalablement peint couleur… alu. Je sais c’est banal mais je manque de temps pour rester original et je vais être en retard pour aller chercher Madame au travail, la vraie Madame, celle qui travaille chez le Boulanger !
Allez, merci à ceux qui ont eu le courage de me lire jusqu’au bout. Quelques photos des travaux effectués :
Armes sensibles et cours (en bourse) fragiles, attention une petite photo fesses à l’air de la Pomponnette va suivre: "Ah te voilà, garce, salope, ordure ! Qu’est ce qu’elle a fait à son Pompon, la Pomponnette hein ?!
Je vais te la peindre moi ta culotte, tu vas voir !
Pendant que ça sèche on se penche sur l'échangeur, qui s'est fait casser ses petites pattes arrières !
donc on le dégage comme convenu,
Pour constater qu'on va aussi changer le pare-chaleur qui est tut purrie !
Rock n roll ! il est pas beau mon turbo !?
http://s29.postimg.org/5qkp9c6xj/5_prot ... _gag_e.jpg
Les pièces neuves sont là :
et posées, je vais pouvoir la baptiser la Pomponnette…
Membre cotisant
n°3165
Merci pour ton récit Coluchien : j'adore, et beau boulot quand même sur la Pomponette qui le mérite bien, même si elle ne travaille pas chez L'Oréal 
Je parle de l'auto là, pas de Madame qui travaille chez le Boulanger, et non pas chez Boulanger donc, si j'ai bien tout compris
Bon courage pour la fin des travaux, et après profite
@+ Piou
Bon alors la Nissan, c'est un truc de fou !
Extèrieur, même si je suis pas fan du look, je dois dire que pour une japonaise, elle en impose sans être trop ostentatoire, bien que très remarquable tout de même. Une ligne robuste et aiguisée mais sobre à la fois.
Le choc, c'est les sorties d'échappement qui sont énormes, mais pas d'origine à priori sur cette caisse.
côté intérieur, la finition est vraiment qualitative et les outils tactiles et autre boutons du tableau de bord sont plutôt bien pensés. Les matériaux et les assemblages, pour moi rien à dire.
L'essai ? comment dire, c'est gloups, wouah, yala, wroooo, argh, c'est une BOMBE ATOMIQUE. Ca envoie à la moindre sollicitation du début à la fin des régimes et ça freine très fort, mais bon, on a juste fait10 bornes et pas de départementale tournoyante, juste une bonne double voies des familles pour passer de 0 à 230, sans avoir le temps de respirer. Un mange goudron le machin !
Extèrieur, même si je suis pas fan du look, je dois dire que pour une japonaise, elle en impose sans être trop ostentatoire, bien que très remarquable tout de même. Une ligne robuste et aiguisée mais sobre à la fois.
Le choc, c'est les sorties d'échappement qui sont énormes, mais pas d'origine à priori sur cette caisse.
côté intérieur, la finition est vraiment qualitative et les outils tactiles et autre boutons du tableau de bord sont plutôt bien pensés. Les matériaux et les assemblages, pour moi rien à dire.
L'essai ? comment dire, c'est gloups, wouah, yala, wroooo, argh, c'est une BOMBE ATOMIQUE. Ca envoie à la moindre sollicitation du début à la fin des régimes et ça freine très fort, mais bon, on a juste fait10 bornes et pas de départementale tournoyante, juste une bonne double voies des familles pour passer de 0 à 230, sans avoir le temps de respirer. Un mange goudron le machin !
Membre cotisant
n°3165
stef75 a écrit : Bon alors la Nissan, c'est un truc de fou !
Extèrieur, même si je suis pas fan du look, je dois dire que pour une japonaise, elle en impose sans être trop ostentatoire, bien que très remarquable tout de même. Une ligne robuste et aiguisée mais sobre à la fois.
Le choc, c'est les sorties d'échappement qui sont énormes, mais pas d'origine à priori sur cette caisse.
côté intérieur, la finition est vraiment qualitative et les outils tactiles et autre boutons du tableau de bord sont plutôt bien pensés. Les matériaux et les assemblages, pour moi rien à dire.
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