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Ce forum regroupe les discussions des modèles : Cayenne, Macan, Taycan, Panamera, hybrides, électriques
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ARF a écrit : un truc comme ça :
Ah ben non, ça fait 3 tonnes à 5 dedans et ça se vend 70K€ comme sur la photo
pour le poids et les dimensions, vu qu'il faut encore une tétrachiée de batteries pour avoir une autonomie réelle pas trop ridicule (400 kms) et qu'elles pèsent un âne mort .. ben ça fera encore 5M de long pour 2T5 au mini pour quelques temps
Sinon E-Story MEHARI LIKE mais 170 kms d'autonomie à 80 km/h .. c'est pas lourd parce que ce sont des quadricycles à moteur et pas des automobiles, et surtout qui voudrait partir en vacances ou WE avec ça ? sauf à 80 kms de chez soi![]()
![]()
Y’a moyen que dans les années à venir et l’allègement des batteries on arrive à baisser à 400kg, voire moins..
Faire une coque avec 4 sièges pour 400-500kg on sait le faire, et depuis longtemps et pour pas cher! Faut juste s’assoir sur les crash-tests EuroNCAP qu’on remplace par de la formation.
MichSOmuch a écrit :Compare à une voiture, pas à une maison!Ghostinet a écrit : Du coup rien ne vous choque quand vous faites 25 kwh au 100 km ?
Enfin après faut pas me dire de mettre le chauffage à 19 ou 15 ou je ne sais pas quel chiffre hein :d :d :d
Une voiture qui fait 6L/100 fait environ 60kWh/100..
Ou alors remplace toute l’électricité de la maison par un générateur au gazole!![]()
C'est bien beau de vouloir tout en VE, et après me saouler pour que je baisse d'un degré la journée mon chauffage (la nuit le chauffage passe à18 car quand on dort je m'en tape d'avoir chaud, en revanche sur le PC en TT, 19 ça pique

L'essence ou le gasoil, quoiqu'il arrive aujourd'hui il sera produit car ils n'ont aucune vision dans les hautes sphères

yastefris a écrit :INteressant de voir où l'Homme place l'origine de son développement argumenaire encore une fois : l'ECONOMIE.jhub a écrit : D'ailleurs tous les catastrophistes comme Aurélien cité plus haut devraient aller parler écologie aux pays en souffrance économique pour redescendre sur Terre un peu![]()
Quand les migrants climatiques bougeront en masse, ouvrions-nous nos frontières ? Point d'économie dans ce questionnement ni même de point salvateur![]()
Quand les migrants climatiques voudront bouger en masse, c'est bien le pouvoir économique qui fera ou non ouvrir les frontières... mais il ya plus urgent, encore une fois

MichSOmuch a écrit : Sinon pour le poids des VE, j’ai l’impression que les progrès sont sensibles dans la course au kW/kg. Ça va être intéressant!
Et puis, si on décidait de copier sur l’aéronautique, via 2 principaux leviers :
Le poids
La rigueur
Le poids : on peut construire une bagnole comme un avion ou un planeur en composite. 2 demi-coques collées, des équipements réduits et légers, de l’isolation légère, je suis sûr qu’on peut avoir un VE 4 places à moins d’une tonne. Par contre ce n’est pas conciliable avec le confort extrême des autos modernes. Les dimensions aussi, qu’on arrête avec des caisses de 5m de long et 2m de large alors qu’on sait avoir autant d’espace pour moins grand.

Malheureusement, l'industrie auto traditionelle continue de s'enfoncer dans un abominable cercle vicieux


MichSOmuch a écrit : La rigueur : on responsabilise les gens, on les forces à s’assurer eux-mêmes qu’ils vont diriger la voiture, on les forme correctement à la conduite, on les contrôle régulièrement avec tests et suspension de permis si échec au test, on leur apprend à vérifier l’essentiel avant un départ et après l’arrivée, etc.. tout ça va permettre de se passer d’airbags, de cellule renforcée, de caméras, de tout ce merdier qui pèse lourd et ne sert qu’à ceux qui sont mauvais et leurs victimes. Ça compensera la fragilité induite par la chasse au poids.

Et pendant ce temps là aux US
https://www.lesechos.fr/finance-marches ... in-1870959
La voiture électrique ne fait plus rêver Wall Street
Les vendeurs à découvert et traders continuent de parier sur le plongeon des actions des fabricants de voitures électriques. Ils ont gagné près de 15 milliards de dollars en 2022. Ce secteur s'est effondré et ces groupes baissent deux à trois fois plus que les autres actions de Wall Street.
Les traders de Wall Street ciblent le secteur des véhicules électriques, jugé trop chère et souvent opaque.
A Paris, les véhicules électriques comptent parmi les vedettes du Mondial de l'auto. Mais à Wall Street, la voiture de demain ne fait pas encore consensus. Ce secteur est ciblé par les traders qui spéculent sur la chute des cours des fabricants grâce à la vente à découvert. Pour eux, l'auto du futur reste encore un mythe, une croyance comme une autre, et pas une réalité. Ils ont empoché près de 15 milliards de dollars grâce à leurs positions spéculatives à la baisse . Des fraudes et des valorisations déconnectées de la réalité ont hâté l'éclatement de cette bulle spéculative à la faveur du plongeon du Nasdaq en 2022 .
Cette année, Lordstown Motors perd 53 %, Lucid et Rivian 69 % , alors que Canoo et Xpeng plongent de 82 %. Le leader Tesla cède 45 %, soit deux fois plus qu'une des 500 premières valeurs américaines (-22 %). Sa contre-performance boursière est comparable à celle des deux géants de l'automobile, General Motors et Ford.
Les sociétés qui gravitent dans le secteur, comme les fabricants de batteries électriques et piles à hydrogène, ont elles aussi été impactées. Plug Power perd 35 % et Blink Charging 46 %. Si les faibles ventes et la rentabilité incertaine pouvaient être pardonnées dans des marchés euphoriques, la sanction boursière est rude quand pointent la récession et une crise mondiale (géopolitique, inflation). Les investisseurs n'ont plus le coeur à rêver à l'auto du futur.
25 ans de prison
Tous secteurs confondus, Tesla, pourtant l'une des icônes de Wall Street, est la deuxième société la plus ciblée par les vendeurs à découvert derrière Apple. Nikola (-71 %), une entreprise spécialisée dans les véhicules à propulsion alternative comme l'hydrogène était dans le collimateur des firmes de recherche indépendantes depuis plus deux ans . Son fondateur Trevor Milton vient d'être reconnu coupable de fraude et de déclarations frauduleuses en vue de faire grimper l'action de sa société. Le verdict est attendu en janvier. Il risque 25 années de prison.
Elon Musk chinois
Face aux vendeurs à découvert, les particuliers américains restent enthousiastes sur des titres comme Tesla et Nio. D'autres hedge funds continuent aussi de croire dans l'avenir de ce secteur malgré les lourdes pertes subies. Rivian reste la première valeur en portefeuille du family office de George Soros . Ce dernier avait réduit sa participation au second trimestre de 26 à 18 millions de titres. Il est aussi actionnaire de deux autres groupes du secteur, Lucid Group et Nio, un constructeur automobile chinois spécialisé dans les véhicules électriques.
En 2020, son cours avait bondi de 450 %, le propulsant sur le devant de la scène en Asie. Son dirigeant Bin Li a beau être surnommé « l'Elon Musk de la Chine », « les entreprises passées de Li ont vu leurs actions s'effondrer et ont été retirées du marché à une fraction de leurs valorisations maximales », souligne la société de recherche Grizzly Research . Elle met en cause le système financier et comptable du groupe Nio. Il repose sur une société, Wuhan Weineng, non consolidée dans les comptes, pour gonfler artificiellement ses revenus. Le constructeur a jugé cette analyse remplie « d'inexactitudes et de mauvaises interprétations ». Le marché, lui, a tranché en faveur du vendeur à découvert. Depuis cette publication, son titre a chuté à Hong Kong de 47 %.
Nessim Aït-Kacimi
https://www.lesechos.fr/finance-marches ... in-1870959
La voiture électrique ne fait plus rêver Wall Street
Les vendeurs à découvert et traders continuent de parier sur le plongeon des actions des fabricants de voitures électriques. Ils ont gagné près de 15 milliards de dollars en 2022. Ce secteur s'est effondré et ces groupes baissent deux à trois fois plus que les autres actions de Wall Street.
Les traders de Wall Street ciblent le secteur des véhicules électriques, jugé trop chère et souvent opaque.
A Paris, les véhicules électriques comptent parmi les vedettes du Mondial de l'auto. Mais à Wall Street, la voiture de demain ne fait pas encore consensus. Ce secteur est ciblé par les traders qui spéculent sur la chute des cours des fabricants grâce à la vente à découvert. Pour eux, l'auto du futur reste encore un mythe, une croyance comme une autre, et pas une réalité. Ils ont empoché près de 15 milliards de dollars grâce à leurs positions spéculatives à la baisse . Des fraudes et des valorisations déconnectées de la réalité ont hâté l'éclatement de cette bulle spéculative à la faveur du plongeon du Nasdaq en 2022 .
Cette année, Lordstown Motors perd 53 %, Lucid et Rivian 69 % , alors que Canoo et Xpeng plongent de 82 %. Le leader Tesla cède 45 %, soit deux fois plus qu'une des 500 premières valeurs américaines (-22 %). Sa contre-performance boursière est comparable à celle des deux géants de l'automobile, General Motors et Ford.
Les sociétés qui gravitent dans le secteur, comme les fabricants de batteries électriques et piles à hydrogène, ont elles aussi été impactées. Plug Power perd 35 % et Blink Charging 46 %. Si les faibles ventes et la rentabilité incertaine pouvaient être pardonnées dans des marchés euphoriques, la sanction boursière est rude quand pointent la récession et une crise mondiale (géopolitique, inflation). Les investisseurs n'ont plus le coeur à rêver à l'auto du futur.
25 ans de prison
Tous secteurs confondus, Tesla, pourtant l'une des icônes de Wall Street, est la deuxième société la plus ciblée par les vendeurs à découvert derrière Apple. Nikola (-71 %), une entreprise spécialisée dans les véhicules à propulsion alternative comme l'hydrogène était dans le collimateur des firmes de recherche indépendantes depuis plus deux ans . Son fondateur Trevor Milton vient d'être reconnu coupable de fraude et de déclarations frauduleuses en vue de faire grimper l'action de sa société. Le verdict est attendu en janvier. Il risque 25 années de prison.
Elon Musk chinois
Face aux vendeurs à découvert, les particuliers américains restent enthousiastes sur des titres comme Tesla et Nio. D'autres hedge funds continuent aussi de croire dans l'avenir de ce secteur malgré les lourdes pertes subies. Rivian reste la première valeur en portefeuille du family office de George Soros . Ce dernier avait réduit sa participation au second trimestre de 26 à 18 millions de titres. Il est aussi actionnaire de deux autres groupes du secteur, Lucid Group et Nio, un constructeur automobile chinois spécialisé dans les véhicules électriques.
En 2020, son cours avait bondi de 450 %, le propulsant sur le devant de la scène en Asie. Son dirigeant Bin Li a beau être surnommé « l'Elon Musk de la Chine », « les entreprises passées de Li ont vu leurs actions s'effondrer et ont été retirées du marché à une fraction de leurs valorisations maximales », souligne la société de recherche Grizzly Research . Elle met en cause le système financier et comptable du groupe Nio. Il repose sur une société, Wuhan Weineng, non consolidée dans les comptes, pour gonfler artificiellement ses revenus. Le constructeur a jugé cette analyse remplie « d'inexactitudes et de mauvaises interprétations ». Le marché, lui, a tranché en faveur du vendeur à découvert. Depuis cette publication, son titre a chuté à Hong Kong de 47 %.
Nessim Aït-Kacimi
AP1792 a écrit : Et pendant ce temps là aux US
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La voiture électrique ne fait plus rêver Wall Street
Les vendeurs à découvert et traders continuent de parier sur le plongeon des actions des fabricants de voitures électriques. Ils ont gagné près de 15 milliards de dollars en 2022. Ce secteur s'est effondré et ces groupes baissent deux à trois fois plus que les autres actions de Wall Street.
Les traders de Wall Street ciblent le secteur des véhicules électriques, jugé trop chère et souvent opaque.
A Paris, les véhicules électriques comptent parmi les vedettes du Mondial de l'auto. Mais à Wall Street, la voiture de demain ne fait pas encore consensus. Ce secteur est ciblé par les traders qui spéculent sur la chute des cours des fabricants grâce à la vente à découvert. Pour eux, l'auto du futur reste encore un mythe, une croyance comme une autre, et pas une réalité. Ils ont empoché près de 15 milliards de dollars grâce à leurs positions spéculatives à la baisse . Des fraudes et des valorisations déconnectées de la réalité ont hâté l'éclatement de cette bulle spéculative à la faveur du plongeon du Nasdaq en 2022 .
Cette année, Lordstown Motors perd 53 %, Lucid et Rivian 69 % , alors que Canoo et Xpeng plongent de 82 %. Le leader Tesla cède 45 %, soit deux fois plus qu'une des 500 premières valeurs américaines (-22 %). Sa contre-performance boursière est comparable à celle des deux géants de l'automobile, General Motors et Ford.
Les sociétés qui gravitent dans le secteur, comme les fabricants de batteries électriques et piles à hydrogène, ont elles aussi été impactées. Plug Power perd 35 % et Blink Charging 46 %. Si les faibles ventes et la rentabilité incertaine pouvaient être pardonnées dans des marchés euphoriques, la sanction boursière est rude quand pointent la récession et une crise mondiale (géopolitique, inflation). Les investisseurs n'ont plus le coeur à rêver à l'auto du futur.
25 ans de prison
Tous secteurs confondus, Tesla, pourtant l'une des icônes de Wall Street, est la deuxième société la plus ciblée par les vendeurs à découvert derrière Apple. Nikola (-71 %), une entreprise spécialisée dans les véhicules à propulsion alternative comme l'hydrogène était dans le collimateur des firmes de recherche indépendantes depuis plus deux ans . Son fondateur Trevor Milton vient d'être reconnu coupable de fraude et de déclarations frauduleuses en vue de faire grimper l'action de sa société. Le verdict est attendu en janvier. Il risque 25 années de prison.
Elon Musk chinois
Face aux vendeurs à découvert, les particuliers américains restent enthousiastes sur des titres comme Tesla et Nio. D'autres hedge funds continuent aussi de croire dans l'avenir de ce secteur malgré les lourdes pertes subies. Rivian reste la première valeur en portefeuille du family office de George Soros . Ce dernier avait réduit sa participation au second trimestre de 26 à 18 millions de titres. Il est aussi actionnaire de deux autres groupes du secteur, Lucid Group et Nio, un constructeur automobile chinois spécialisé dans les véhicules électriques.
En 2020, son cours avait bondi de 450 %, le propulsant sur le devant de la scène en Asie. Son dirigeant Bin Li a beau être surnommé « l'Elon Musk de la Chine », « les entreprises passées de Li ont vu leurs actions s'effondrer et ont été retirées du marché à une fraction de leurs valorisations maximales », souligne la société de recherche Grizzly Research . Elle met en cause le système financier et comptable du groupe Nio. Il repose sur une société, Wuhan Weineng, non consolidée dans les comptes, pour gonfler artificiellement ses revenus. Le constructeur a jugé cette analyse remplie « d'inexactitudes et de mauvaises interprétations ». Le marché, lui, a tranché en faveur du vendeur à découvert. Depuis cette publication, son titre a chuté à Hong Kong de 47 %.
Nessim Aït-Kacimi
C'est marrant comme les analystes des marche boursiers essaient toujours de les lier alors qu'il n'y rien, rien du tout de commun

Si ca continue, je vais m'enerver
