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n°4315




Content d’avoir revu les copains et de découvrir ce circuit mythique et son banking à la vétusté avancée
Une belle journée avec quelques arsouilles vite entachée par des problèmes de freins et une pédale de plus en plus spongieuse au fil des tours
Difficile de se lâcher dans ces conditions, le pompage était de rigueur pour retrouver un peu de consistance à la pédale.
Bref, un peu de mécanique s’impose pour débloquer les 2 pistons retrouvés grippés sur l’étrier arrière droit...
Merci pour les photos
et vivement la prochaine... 



Une belle journée avec quelques arsouilles vite entachée par des problèmes de freins et une pédale de plus en plus spongieuse au fil des tours

Difficile de se lâcher dans ces conditions, le pompage était de rigueur pour retrouver un peu de consistance à la pédale.
Bref, un peu de mécanique s’impose pour débloquer les 2 pistons retrouvés grippés sur l’étrier arrière droit...
Merci pour les photos


Jonetsu a écrit : merci a tous pour Samedi, très bonne ambiance, belles voitures, vraiment top
par contre, je confirme comme beaucoup ici, le circuit a encore pris un coup de vieux, et ca va être de plus en plus difficile pour eux ....

C’est vrai que les trous dans l’anneau avec les morceaux de ciment qui dégringolent en bas sont très inquiétants

Merci à Jean-Louis et au club de m'avoir accueilli pour cette édition! Bonne ambiance et du fairplay, on s'est bien amusé 












































La mémère n'était pas en reste.


Une évocation de la livrée de l'auto de Jean-Yves Gadal plutôt réussie par un passionné et bon pilote. Ca m'a fait plaisir de voir cette déco en vrai.
De l'autre coté de l'auto le nom de Ségolen y figure aussi, que certains connaissent.
http://www.les24heures.fr/database-24h/ ... hp?P1=1700

24 Heures du Mans 1976 : la Porsche des Bretons l’emporte en GT.
06/12/2015 Thierry Le Bras.
Pour tout passionné de sport automobile, les 24 Heures du Mans représentent un mythe absolu. Comme le Rallye de Monte-Carlo, comme le Grand-Prix de Monaco, comme les 500 miles d’Indianapolis.
Depuis les années 90, le sport automobile a beaucoup évolué. Il s’est professionnalisé. Il est devenu plus coûteux. Les pilotes sont de plus en plus spécialisés. L’accès des grandes épreuves est de plus en plus fermé aux amateurs, à commencer par les 24 Heures du Mans. Comment des amateurs seraient-ils acceptés au départ quand un équipage comme celui formé par Jean Alesi et Giancarlo Fisichella, tous deux vainqueurs de GP en F1, engagés sur une Ferrari LMGT2 en 2010, fut longtemps incertain car il ne figurait que sur le liste des suppléants ?
Trop forts les Bretons !
Durant les années 60, 70, 80 et 90, plusieurs équipages d’authentiques gentlemen drivers se comportèrent pourtant fort honorablement dans la classique mancelle. A titre d’exemple, le Trinitain Dédé Segolen, le Lorientais Jean-Yves Gadal et le Brestois Maurice Ouvière remportèrent la catégorie GT au Mans 1976.
Objectivement, personne n’aurait parié un Franc (nous étions encore loin du passage à l’euro) sur leurs chances de victoire en groupe 4. Non en raison des qualités de pilotes des Bretons, mais tout simplement parce qu’ils pilotaient une Carrera RSR atmosphérique (N° 71) et que de nombreuses 934 Turbo développant 600 chevaux et capables d’atteindre 300 kilomètres/heure dans les Hunaudières étaient engagées. Parmi les pilotes de ces monstres récemment homologués en groupe 4 figuraient quelques pointures comme Didier Pironi, Bob Wollek, Jean-Claude Andruet, Dominique Fornage et Claude Haldi pour ne citer qu’eux. Alors, les chances de la « petite » Carrera RSR des Bretons paraissaient bien minces. L’auto n’était en réalité qu’une groupe 3 avec laquelle Maurice Ouvière courait régulièrement en côte et en rallye. Il aurait d’ailleurs remporté le scratch au Rallye d’Armor avec cette voiture quelques semaines plus tôt sans une pénalité récoltée sur le secteur routier.

Comment trois amateurs pourraient-ils imaginer courir Le Mans aujourd’hui avec une voiture de rallye et de course de côte ? Totalement impensable. Et c’est bien dommage. Ces amateurs dont l’assistance était assurée par une bande de copains aussi dévoués qu’efficaces (avec notamment Jo Busnel et Jean-Claude Lorendel que tous les passionnés de la région ont connu) étaient en piste pour l’exploit. Moins rapide au tour que les 934 Turbo, la « petite » Porsche à moteur atmosphérique tourne comme une horloge. Ce n’est pas le cas des nouveaux modèles à moteurs turbocompressés. Embrayages, amortisseurs, turbos, tringlerie d’accélérateur, autres soucis mécaniques se succèdent et leur font perdre un temps considérable au stand. Pendant ce temps, la N° 71 poursuit son challenge de régularité sans le moindre souci. L’incroyable se produit. Elle passe en tête de sa catégorie devant les voitures engagées par des teams comme Kremer ou Haldi et à 16 heures le dimanche après-midi, ce sera elle qui l’emportera en GT.
Les hommes de l’Ouest à l’honneur!
Je conserve un souvenir particulier des 24 Heures du Mans 1976 pour deux raisons. D’une part, ce fut la première édition à laquelle j’ai assisté au bord de la piste. Une joie formidable.
D’autre part, c’est en 1976 que j’ai commencé à courir en participant à quelques courses de côtes au volant d’une Opel Ascona 19SR groupe 1. Une auto totalement de série (à part 4 amortisseurs De Carbon et les équipements de sécurité). Je roulais avec au quotidien, y compris pour aller au Mans !
Quoique déjà grand supporter de Didier Pironi dont je reparlerai bientôt, je suis ravi de voir des pilotes de l’Ouest que je suis depuis plusieurs saisons se mettre en évidence. Ceux de l’Écurie Bretagne bien sûr, mais aussi les frères Ravenel, Jacky et Jean-Louis qui brillent respectivement en course de côte et en rallye avec leurs Opel Commodore GSE ! Au Mans cette année-là, ils pilotaient une BMW 30 CSL groupe 2 et remporteraient leur catégorie.....
http://circuitmortel.com/2015/12/24-heu ... rte-en-gt/














































La mémère n'était pas en reste.


Une évocation de la livrée de l'auto de Jean-Yves Gadal plutôt réussie par un passionné et bon pilote. Ca m'a fait plaisir de voir cette déco en vrai.
De l'autre coté de l'auto le nom de Ségolen y figure aussi, que certains connaissent.
http://www.les24heures.fr/database-24h/ ... hp?P1=1700

24 Heures du Mans 1976 : la Porsche des Bretons l’emporte en GT.
06/12/2015 Thierry Le Bras.
Pour tout passionné de sport automobile, les 24 Heures du Mans représentent un mythe absolu. Comme le Rallye de Monte-Carlo, comme le Grand-Prix de Monaco, comme les 500 miles d’Indianapolis.
Depuis les années 90, le sport automobile a beaucoup évolué. Il s’est professionnalisé. Il est devenu plus coûteux. Les pilotes sont de plus en plus spécialisés. L’accès des grandes épreuves est de plus en plus fermé aux amateurs, à commencer par les 24 Heures du Mans. Comment des amateurs seraient-ils acceptés au départ quand un équipage comme celui formé par Jean Alesi et Giancarlo Fisichella, tous deux vainqueurs de GP en F1, engagés sur une Ferrari LMGT2 en 2010, fut longtemps incertain car il ne figurait que sur le liste des suppléants ?
Trop forts les Bretons !
Durant les années 60, 70, 80 et 90, plusieurs équipages d’authentiques gentlemen drivers se comportèrent pourtant fort honorablement dans la classique mancelle. A titre d’exemple, le Trinitain Dédé Segolen, le Lorientais Jean-Yves Gadal et le Brestois Maurice Ouvière remportèrent la catégorie GT au Mans 1976.
Objectivement, personne n’aurait parié un Franc (nous étions encore loin du passage à l’euro) sur leurs chances de victoire en groupe 4. Non en raison des qualités de pilotes des Bretons, mais tout simplement parce qu’ils pilotaient une Carrera RSR atmosphérique (N° 71) et que de nombreuses 934 Turbo développant 600 chevaux et capables d’atteindre 300 kilomètres/heure dans les Hunaudières étaient engagées. Parmi les pilotes de ces monstres récemment homologués en groupe 4 figuraient quelques pointures comme Didier Pironi, Bob Wollek, Jean-Claude Andruet, Dominique Fornage et Claude Haldi pour ne citer qu’eux. Alors, les chances de la « petite » Carrera RSR des Bretons paraissaient bien minces. L’auto n’était en réalité qu’une groupe 3 avec laquelle Maurice Ouvière courait régulièrement en côte et en rallye. Il aurait d’ailleurs remporté le scratch au Rallye d’Armor avec cette voiture quelques semaines plus tôt sans une pénalité récoltée sur le secteur routier.

Comment trois amateurs pourraient-ils imaginer courir Le Mans aujourd’hui avec une voiture de rallye et de course de côte ? Totalement impensable. Et c’est bien dommage. Ces amateurs dont l’assistance était assurée par une bande de copains aussi dévoués qu’efficaces (avec notamment Jo Busnel et Jean-Claude Lorendel que tous les passionnés de la région ont connu) étaient en piste pour l’exploit. Moins rapide au tour que les 934 Turbo, la « petite » Porsche à moteur atmosphérique tourne comme une horloge. Ce n’est pas le cas des nouveaux modèles à moteurs turbocompressés. Embrayages, amortisseurs, turbos, tringlerie d’accélérateur, autres soucis mécaniques se succèdent et leur font perdre un temps considérable au stand. Pendant ce temps, la N° 71 poursuit son challenge de régularité sans le moindre souci. L’incroyable se produit. Elle passe en tête de sa catégorie devant les voitures engagées par des teams comme Kremer ou Haldi et à 16 heures le dimanche après-midi, ce sera elle qui l’emportera en GT.
Les hommes de l’Ouest à l’honneur!
Je conserve un souvenir particulier des 24 Heures du Mans 1976 pour deux raisons. D’une part, ce fut la première édition à laquelle j’ai assisté au bord de la piste. Une joie formidable.
D’autre part, c’est en 1976 que j’ai commencé à courir en participant à quelques courses de côtes au volant d’une Opel Ascona 19SR groupe 1. Une auto totalement de série (à part 4 amortisseurs De Carbon et les équipements de sécurité). Je roulais avec au quotidien, y compris pour aller au Mans !
Quoique déjà grand supporter de Didier Pironi dont je reparlerai bientôt, je suis ravi de voir des pilotes de l’Ouest que je suis depuis plusieurs saisons se mettre en évidence. Ceux de l’Écurie Bretagne bien sûr, mais aussi les frères Ravenel, Jacky et Jean-Louis qui brillent respectivement en course de côte et en rallye avec leurs Opel Commodore GSE ! Au Mans cette année-là, ils pilotaient une BMW 30 CSL groupe 2 et remporteraient leur catégorie.....
http://circuitmortel.com/2015/12/24-heu ... rte-en-gt/

Merci d’avoir évoqué cette histoire qui m’a lancée, il y a 1 an, dans la réalisation dune réplique de cette victorieuse carrera 3.0 RS « Segolen » pseudo du pilote André GAHINET.
Pour moi l’auto de 76 était une GR4 avec le moteur de 300 CV. Elle avait encore ce moteur aux mans classic 2016 et j’ai été surpris de la retrouver cet hiver à rétro mobile avec le petit moteur (=GR3). Elle était d’ailleurs à vendre !
La mienne a le petit moteur GR3 de 250 cv.
C’était sa 2ème sortie sur circuit et ma fois elle marche plutôt bien pour le paillote que je suis
Pour moi l’auto de 76 était une GR4 avec le moteur de 300 CV. Elle avait encore ce moteur aux mans classic 2016 et j’ai été surpris de la retrouver cet hiver à rétro mobile avec le petit moteur (=GR3). Elle était d’ailleurs à vendre !
La mienne a le petit moteur GR3 de 250 cv.
C’était sa 2ème sortie sur circuit et ma fois elle marche plutôt bien pour le paillote que je suis

Celle qui revendique aujourd’hui l’authenticité de l’auto victorieuse au mans 76.

Le n°65 de sa participation au mans classic 2016.
L’auto du mans 76 a crashé quelques années après sa victoire légendaire. Son propriétaire de l’époque a décidé de changer la caisse et commis l’erreur de ne pas détruire l’ancienne qui a été racheté par les frères Almeras qui ont bien sûr réparé la caisse et reconstruit l’auto pour revendiquer ensuite son authenticité
Elle était D’ailleurs en vente.
Le n°65 de sa participation au mans classic 2016.
L’auto du mans 76 a crashé quelques années après sa victoire légendaire. Son propriétaire de l’époque a décidé de changer la caisse et commis l’erreur de ne pas détruire l’ancienne qui a été racheté par les frères Almeras qui ont bien sûr réparé la caisse et reconstruit l’auto pour revendiquer ensuite son authenticité

Elle était D’ailleurs en vente.
jenfi32 a écrit :JPS a écrit :C'est a cause de la couleurjenfi32 a écrit : Un petit tour dans la BM vedette de l'événement![]()
Bravo Jenfi, on comprend pourquoi elle sur l'affiche:thumbup:
Tout le monde a bien récupéré sa plaque rallye pour décorer le garage![]()
![]()
la vidéo
Tu vas être en photo dans tous nos garages![]()
J'ai trouvé quelques photos de l’événement :
https://newsdanciennes.com/united-color ... -couleurs/
https://www.boxster-cayman-911.com/inde ... h%C3%A9ry/
https://www.forumlaseric.com/t19317-uni ... -autodrome
https://newsdanciennes.com/united-color ... -couleurs/
https://www.boxster-cayman-911.com/inde ... h%C3%A9ry/
https://www.forumlaseric.com/t19317-uni ... -autodrome
991.1 S PDK Aqua blue
2.4 E Targa Sporto Gémini Blue
2.4 E Targa Sporto Gémini Blue
merci Frank

L’United Colors of Autodrome, c’était vraiment une Porscherie !
Si une série était attendue, c’était bien celle du Club911.net, un club qui comme son nom l’indique est dédié aux Porsche, et plutôt coursifiées !
J’avoue que pour ma part, ça a été mon plateau préféré de la journée. En effet avec une bonne trentaine de 911, de 964, de 993 c’était dantesque de les voir se bastonner comme ça sur l’anneau. Dans le respect des gentlemen’s racer quand même ! Puis il y avait une de mes favoris sur la piste, la magnifique 550 Spyder. Une véritable beauté qui rivalise dans mon cœur avec la 914, sa petite cousine également présente. C’était juste beau, voilà !
Il y a de très belles photos !















































L’United Colors of Autodrome, c’était vraiment une Porscherie !
Si une série était attendue, c’était bien celle du Club911.net, un club qui comme son nom l’indique est dédié aux Porsche, et plutôt coursifiées !
J’avoue que pour ma part, ça a été mon plateau préféré de la journée. En effet avec une bonne trentaine de 911, de 964, de 993 c’était dantesque de les voir se bastonner comme ça sur l’anneau. Dans le respect des gentlemen’s racer quand même ! Puis il y avait une de mes favoris sur la piste, la magnifique 550 Spyder. Une véritable beauté qui rivalise dans mon cœur avec la 914, sa petite cousine également présente. C’était juste beau, voilà !
Il y a de très belles photos !