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désolé si ca a déja été diffusé mais je suis tombé là-dessus et je suis resté scotché. Ca aurait aussi pu s'appeler:
" paris s'éveille"
ou "ah la août 1976 c'etait le bon temps"
ou "do not try this at home"
ou encore "comment griller 3712 points en 8 minutes"
enfin bref c'est
ici (30 MB - format quicktime)
Faut juste une Ferrari 275 GTB et une certaine dose d'inconscience
Itinéraire:
Bd Périphérique • Av Foch • Pl Charles-de-Gaulle • Av des Champs-Elysées • Pl de la Concorde • Quai des Tuileries • Pl du Carrousel • R de Rohan • Av de l'Opéra • Pl de l'Opéra • R Halévy • R de la Chausée d'Antin • Pl d'Estienne d'Orves • R Blanche • R Pigalle • Pl Pigalle • Bd de Clichy • (tournant abandonné à R Lepic) • R Caulaincourt • Av Junot • Pl Marcel Aymé • R Norvins • Pl du Tertre • R Ste-Eleuthère • R Azais • Pl du Parvis du Sacré Cœur
[Edite le 20-1-2006 par fafnir]
" paris s'éveille"
ou "ah la août 1976 c'etait le bon temps"
ou "do not try this at home"
ou encore "comment griller 3712 points en 8 minutes"
enfin bref c'est
ici (30 MB - format quicktime)
Faut juste une Ferrari 275 GTB et une certaine dose d'inconscience
Itinéraire:
Bd Périphérique • Av Foch • Pl Charles-de-Gaulle • Av des Champs-Elysées • Pl de la Concorde • Quai des Tuileries • Pl du Carrousel • R de Rohan • Av de l'Opéra • Pl de l'Opéra • R Halévy • R de la Chausée d'Antin • Pl d'Estienne d'Orves • R Blanche • R Pigalle • Pl Pigalle • Bd de Clichy • (tournant abandonné à R Lepic) • R Caulaincourt • Av Junot • Pl Marcel Aymé • R Norvins • Pl du Tertre • R Ste-Eleuthère • R Azais • Pl du Parvis du Sacré Cœur
[Edite le 20-1-2006 par fafnir]
Message original : wat
Merde c'est quoi ce délire ?? :)
On an August morning at 5:30am in 1976, French filmmaker Claude Lelouch mounted a gyro-stabilized camera to the bumper of his Ferrari 275 GTB and had a friend, a professional Formula 1 racer (Jacques-Henri Laffite [a personal friend of the director Claude Lelouch] or Jacky Ickx [who had extensive Ferrari experience with Brabham from prior F1 seasons] or René Arnoux) (Lelouch has always refused to disclose who drove the Ferrari), drive him at breakneck speed through the heart of Paris. The film was limited for technical reasons to 10 minutes; the course was from Porte Dauphine, through the Louvre, to the Basilica of Sacré-Coeur (Place du Tertre). No streets were closed, for Lelouch was unable to obtain a permit. The driver completed the course in about 9 minutes, reaching nearly 230km/h in some stretches. The footage reveals him running real red lights, nearly hitting real pedestrians, and driving the wrong way up real one-way streets.
Filmed in August 1976 in one take (no cuts, effects or editing), the revered short film by seminal French director Claude Lelouch is regarded as the ultimate in chase scenes - the connoisseurs' trump card in response to "Bullitt" or "The French Connection". Absolutely compulsive - this astonishing, exhilarating and now legendary drive through a beautiful 70s Paris with its surprise ending is shrouded in myths. Terrifying yet absolutely compulsive - this exhilarating and now legendary drive with its surprise ending through beautiful 70s Paris has been shrouded in myths since its first release. Was seminal French director Claude Lelouch really arrested when it was first shown? Was it a Formula 1 driver in the iconic Ferrari 275 GTB? Lelouch`s electrifying 9 minutes drive has to be seen to be believed. No car chase on film has, or ever will, come close. The reality of no special effects, edits, or blocking off streets is terrifying.
You'd be hard-pressed to find a film as steeped in myth as "C'était un Rendezvous". Absolutely compulsive - this astonishing, exhilarating and now legendary drive through a beautiful 70s Paris with its surprise ending has been enjoyed for many years as an almost Masonic secret among enthusiasts. Whisper the words "Have you seen Rendezvous ?" and you'll receive either a knowing, "No, but I've heard it's unbelievable" or a smug, "It is un-be-lieve-able".
Filmed in 1976, the revered short film by seminal French director Claude Lelouch is regarded as the ultimate in chase scenes - the connoisseurs' trump card in response to "Bullitt" or "The French Connection".
Lack of availability has only fuelled the myths surrounding the film. Was Lelouch really arrested when it was first shown ? Who drove the car ? Was it Lelouch or a hired Formula One driver ? What was the car ? Was it really a Ferrari 275 GTB ? How (the hell!) did he do it ? What we do know is that there are no special effects, speeding up the film or blocking off the streets. Lelouch simply mounted the camera on the front of the car and takes us on an astonishing, death-defying drive through the streets of a beautifully filmed 70s Paris with a glorious soundtrack provided by the engines' wail, tyres squeal and roar of the exhaust. Richard Symons, a documentary film maker with more than a passing interest in fast cars, managed to acquire a very poor 2nd generation VHS copy. He wasn't disappointed… "I'd never seen anything like it, 9 minutes of adrenalin that simply leaves you with your jaw on the floor. Lelouch was supposedly arrested the first time he'd shown the film and then it simply dived underground. To cut a long story short, I tracked down the director, we dusted down the original 35mm negative, restored and re-mastered it for release - we've brought back all the details and colours and it looks stunning." Over the years, "C'était un Rendezvous" has come to represent something more than an adrenalin rush. It uniquely captures a time and a spirit that seems a long way away from today. Politically incorrect, anti-establishment and overflowing with a primitive passion - it is everything the bureaucrats hate. Which perhaps explains the cheers and whoops of delight at recent screenings. Lelouchs' brilliant ending only adds to this - making a beautiful sense out of the preceding nine minutes.
"It makes Bullitt look like a cartoon" (Jeremy Clarkson - Top Gear, BBC).
What Claude Lelouch (°1937) said about his short movie of 1976:
« Je roule comme Trintignant dans «Un homme et une femme», pied au plancher, compteur bloqué à cent quatre-vingts, prenant tous les risques. Et même d'avantage, puisque je ne suis pas au rallye de Monte-Carlo, mais en plein Paris. À côté de moi, mon chef opérateur contrôle la vitesse de la caméra accrochée au pare-chocs. Nous brûlons systématiquement tous les feux rouges. Les rues et les avenues défilent à une vitesse terrifiante.
A ce moment là, je me dis que les spectateurs seront collés à leurs fauteuils, écrasant du pied un frein imaginaire. Car c'est un film, bien sûr, que je tourne. Neuf minutes trente secondes. Neuf minutes trente secondes de pellicule, c'est ce qui me restait à la fin du tournage de «Si c'était à refaire», au moment des rendus. Trouvant dommage de laisser perdre ces précieux trois cents mètres de pellicule, j'en ai profité pour réaliser un projet qui me tenait à cœur depuis longtemps : un film en un seul plan-séquence où la caméra traverserait Paris à grande vitesse, son regard étant celui d'un homme qui conduit comme un fou parce qu'il est en retard à un rendez-vous.
J'avais eu cette idée un jour où, moi qui suis toujours ponctuel, j'étais dans la même situation. Comme il était vital que j'arrive à l'heure, j'ai traversé Paris à une vitesse hallucinante, brûlant des feux rouges, empruntant des sens interdits, prenant des risques insensés. Comme je suis en train de le faire en ce moment même. Cinq cent soixante-dix secondes, pas une de plus, c'est le temps que j'ai pour effectuer le trajet porte Dauphine-place du Tertre. Avec deux principaux problèmes techniques. Le premier consiste à coordonner le parcours de la voiture avec l'action des dix dernières secondes, quand Gunilla, ma compagne de l'époque (qui est aussi la mère de ma fille Sarah) s'avancera vers le véhicule qui s'arrêtera devant elle. C'est le bruit du moteur, à mon approche de la place du Tertre, qui l'avertira qu'il est temps de s'avancer jusque dans le champs de la caméra. Le second problème réside dans l'impossibilité d'assurer la sécurité de l'opération. J'ai limité les risques en tournant ce film cascade au mois d'août, à cinq heures trente du matin, au lever du jour. La circulation est donc quasiment inexistante. Je n'ai pu cependant obtenir l'autorisation de bloquer les rues débouchant sur mon parcours. Un véhicule peut donc déboîter devant moi à n'importe quel moment. Si cela se produit, je prie pour avoir le coup d'œil et les réflexes nécessaires pour réagir au quart de seconde. L'étape la plus dangereuse du parcours demeure le passage des guichets du Louvre. Il n'y a aucune visibilité à la sortie. Si une voiture surgit à ce moment devant mon capot, la collision sera inévitable. J'ai donc posté mon assistant, Élie Chouraqui, à cet endroit stratégique. Grâce à son talkie-walkie, il me préviendra en cas de danger. J'arrive à la hauteur des guichets du Louvre. Aucun signal de la part de « Chouchou ». Je fonce. Le reste du parcours s'accomplit sans problème. Je ralentis place du Tertre, et Gunilla, avec un chronométrage parfait, s'avance à ma rencontre. Un quart d'heure plus tard, je retrouve Chouraqui, en train de bricoler son « talkie ».
— Qu'est ce qui se passe ?
— C'est cette saloperie ! me dit-il en désignant l'appareil. Il est tombé en panne au début de la prise !
J'ai un grand frisson d'angoisse rétrospectif.
Debout dans le bureau du préfet de police, j'ai la sensation d'être un enfant puni. Je m'apprête d'ailleurs à l'être et sévèrement.
D'une voix de procureur, le préfet, qui m'a personnellement convoqué, dresse à mon intention la liste de toutes les infractions que j'ai commises pendant les quelques minutes de tournage de «C'était un rendez-vous». Elle est interminable. Quand il a fini, il lève sur moi un œil noir et dit en avançant la main :
— Remettez-moi votre permis de conduire, s'il vous plait.
Le moment serait mal choisi pour discuter. Je m'exécute. Le préfet de police s'empare du document, le contemple rêveusement pendant quelques secondes, puis... me le rend avec un large sourire.
— Je m'étais engagé à vous le retirer, me dit-il. Mais je n'ai pas précisé pour combien de temps.
Devant ma stupéfaction, il ajoute :
— Mes enfants adorent votre petit film ! »
[Edite le 20-1-2006 par fafnir]
Je l'avais vu, sympa surtout pour les bruits et l'ambiance mais je pense à un montage son/image car le passage au début où il double un taxi à une allure semblant assez normale alors que le bruit laisse penser qu'il est à fond de trois...ou alors le taxi est à fond de quatre!
PC
PC

Dans le même style auto hebdo avait fait un repotage sur le record du periph avec une BM série 5 préparée par Hartge ou équivalent
J'ai une belle video qui s'appelle "Stockholm getaway" mais là avec une 911 et c'est top
j'ai aussi une autre video d'un motard qui se tape le périph en plein traffic avec des pointes à 250 entre les auto c'est du total délire

Sje ne sais comment mettre ca en ligne si y en a un qu peut m'aider :)
J'ai une belle video qui s'appelle "Stockholm getaway" mais là avec une 911 et c'est top
j'ai aussi une autre video d'un motard qui se tape le périph en plein traffic avec des pointes à 250 entre les auto c'est du total délire


Sje ne sais comment mettre ca en ligne si y en a un qu peut m'aider :)
Effectivement, c'est amusant et j'aimerais bien savoir comment ils ont fait pour avoir un son réaliste avec une image accélérée. Accélérée de combien ?
Mais ce qui m'a le plus frappé c'est la vitesse d'envol des oiseaux vers la fin, sans parler bien sûr de tous les feux rouges grillés.
Henri.
Mais ce qui m'a le plus frappé c'est la vitesse d'envol des oiseaux vers la fin, sans parler bien sûr de tous les feux rouges grillés.
Henri.
C'est pas vraiment crédible ... à un moment il dépasse une R4 et un 2CV à une vitesse raisonable et le bruit nous laisse croire qu'il est à fond de 4 ou de 5 donc à plus de 200.
Et puis, à 180/200 en ville, ca défile vachement plus vite que ça si je me rappelle bien mes 18 ans
Sinon, c'est très sympa. J'adore l'ambiance "Paris s'éveille".
Et puis, à 180/200 en ville, ca défile vachement plus vite que ça si je me rappelle bien mes 18 ans

Sinon, c'est très sympa. J'adore l'ambiance "Paris s'éveille".