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n°2319




23 & 24 oct : P.1
25 oct : P.2
26 oct : P.3
27 oct : P.3
28/29/30 oct : P.4 (pas de roulage)
31 oct : P.4
1er nov : P.5
2 novembre : P.5
3 novembre : P.7
4 novembre : P.7
5 novembre : P.7
6 novembre : P.7
7 novembre : P.7
8 novembre : p.7
9 novembre : P.7
Road-books : P.8
Vidéos : P.9 + P.10
Dimanche 23 octobre
Paris – Val d’Isère : 750 kms de prévus, dont beaucoup d’autoroute à vitesse modérée (mon Coyote a été mis à jour la veille !). Une journée ennuyeuse en perspective, sauf la montée entre Bourg-Saint-Maurice et Val…
La voiture est prête pour le départ : pneus neufs à l’avant, quelques heures de lavage pour la rendre impeccable (ça ne va pas durer longtemps).


Qui a dit qu’une Porsche n’était pas logeable, a fortiori une GT3 ? Largement de la place pour deux adultes et leurs bagages :)


Après 400 km d’autoroute, une pause ravitaillement pour les conducteurs. On y mange toujours bien !

Vers 16H, on aperçoit les premières neiges sur les sommets, bien avant Chamberry.

Arrivée à Tignes-le-lac, sur une route parfaitement sèche : il fait 3°C mais la neige tombée le mardi ne fond pas.
Devant la Grande Motte, à Tignes-val-Claret. On peut remarquer que les canons à neige ont fonctionné sur la Face : test, ou début d’enneigement artificiel pour l’ouverture dans un mois ?


Petit panorama devant le Lac :

Arrivée à Val d’Isère :

Finalement une journée plutôt agréable grâce au grand beau temps. La montée de Bourg était géniale, sans circulation, sur un bitume bien sec
Tout aurait été parfait si je n’avais pas perdu 3 points dans une partie de N90 à deux voies et limitée à 90…
La suite arrive !
[Édite le 6-1-2012 par rpaddicted]
25 oct : P.2
26 oct : P.3
27 oct : P.3
28/29/30 oct : P.4 (pas de roulage)
31 oct : P.4
1er nov : P.5
2 novembre : P.5
3 novembre : P.7
4 novembre : P.7
5 novembre : P.7
6 novembre : P.7
7 novembre : P.7
8 novembre : p.7
9 novembre : P.7
Road-books : P.8
Vidéos : P.9 + P.10
Dimanche 23 octobre
Paris – Val d’Isère : 750 kms de prévus, dont beaucoup d’autoroute à vitesse modérée (mon Coyote a été mis à jour la veille !). Une journée ennuyeuse en perspective, sauf la montée entre Bourg-Saint-Maurice et Val…
La voiture est prête pour le départ : pneus neufs à l’avant, quelques heures de lavage pour la rendre impeccable (ça ne va pas durer longtemps).


Qui a dit qu’une Porsche n’était pas logeable, a fortiori une GT3 ? Largement de la place pour deux adultes et leurs bagages :)


Après 400 km d’autoroute, une pause ravitaillement pour les conducteurs. On y mange toujours bien !

Vers 16H, on aperçoit les premières neiges sur les sommets, bien avant Chamberry.

Arrivée à Tignes-le-lac, sur une route parfaitement sèche : il fait 3°C mais la neige tombée le mardi ne fond pas.
Devant la Grande Motte, à Tignes-val-Claret. On peut remarquer que les canons à neige ont fonctionné sur la Face : test, ou début d’enneigement artificiel pour l’ouverture dans un mois ?


Petit panorama devant le Lac :

Arrivée à Val d’Isère :

Finalement une journée plutôt agréable grâce au grand beau temps. La montée de Bourg était géniale, sans circulation, sur un bitume bien sec

Tout aurait été parfait si je n’avais pas perdu 3 points dans une partie de N90 à deux voies et limitée à 90…

La suite arrive !
[Édite le 6-1-2012 par rpaddicted]
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n°2319




Lundi 24 octobre
Val d’Isère – Bologne par le col de l’Iseran et le col du Mont Cenis. Ce sera sans doute le dernier jour d’ouverture de l’Iseran car il est prévu de la neige dans la nuit et le mardi.
Depuis Bourg, on a vu deux panneaux indiquant qu’il était recommandé d’avoir les équipements spéciaux pour le col ! Petit problème, je n’ai pas emporté les chaînes prévues pour la GT3, parce qu’il n’y en a pas :O
Un restaurateur nous a dit que c’était roulable sans problème mais qu’il y avait par endroit des plaques de verglas, surtout le matin tôt et le soir. Bon…
Départ à 9H, en espérant que le soleil ait un peu agi sur le verglas en hauteur.

On commence la montée de l’Iseran : la route paraît sèche mais il y a parfois des grosses plaques luisantes, alors je conduis à un rythme de sénateur. Ce n’est pas vraiment la meilleure période pour attaquer
Il fait -3…
Joli panorama, qu’on a bien le temps d’admirer.


Le col, ou nous arrivons sans encombres, sur une route toujours majoritairement sèche mais piégeuse si conduite trop vite.


Dans la descente vers Bonneval :

Les nuages au loin nous inquiètent un peu !

Arrivée à Bessans, ils font marcher les canons à neige !!

Col de la Madeleine :

Puis c’est la montée vers le col du Mont Cenis qui commence sur du joli bitume sec, j’attaque un peu. La voiture est remarquablement stable, parfaite. Puis je vois des flocons ! Il neige ! Zut…
Finalement la neige n’aura pas duré très longtemps mais je dois ralentir fortement le rythme, par peur de glisser sur une route un peu trop luisante à mon goût. Surtout qu’il fait -4 !
On arrive au col, au ralenti :

Puis c’est un gros blizzard, on ne voit pas à 200 mètres, on ne voit pas le lac. La neige et le givre virevoltent sur la route qui accroche quand même pas mal. Je roule à 50 sans problème, les deux mains sur le volant quand même
Voilà une idée de ce que j’ai traversé :

Et voilà l‘Italie ! Avec toujours du givre sur la route.

Côté italien on rejoint rapidement l’autoroute du Turin puis celle vers Piacenza et Bologne. La route n’a aucun intérêt, et je n’ai aucun éclaireur. Les italiens roulent quand même plus vite que les français donc je les suis.

Pause déjeuner à Piacenza où nous restons quelques heures pour faire le tour de la vieille ville :



Et on finit par le tronçon Piacenza – Bologna qui est HORRIBLE ! Une succession de radars tronçons, sans discontinuer. Donc : 160 km au régulateur à 130, comme tout le monde. Heureusement qu’on est deux, sinon je m’endormirais !

L’arrivée à Bologne se fait sous la pluie, et les photos prises la nuit du centre-ville ne rendent rien, donc je posterai des photos de jour.
Un très bel hôtel, à 15 minutes du centre-ville à pied, que je recommande fortement :

Val d’Isère – Bologne par le col de l’Iseran et le col du Mont Cenis. Ce sera sans doute le dernier jour d’ouverture de l’Iseran car il est prévu de la neige dans la nuit et le mardi.
Depuis Bourg, on a vu deux panneaux indiquant qu’il était recommandé d’avoir les équipements spéciaux pour le col ! Petit problème, je n’ai pas emporté les chaînes prévues pour la GT3, parce qu’il n’y en a pas :O
Un restaurateur nous a dit que c’était roulable sans problème mais qu’il y avait par endroit des plaques de verglas, surtout le matin tôt et le soir. Bon…

Départ à 9H, en espérant que le soleil ait un peu agi sur le verglas en hauteur.

On commence la montée de l’Iseran : la route paraît sèche mais il y a parfois des grosses plaques luisantes, alors je conduis à un rythme de sénateur. Ce n’est pas vraiment la meilleure période pour attaquer

Joli panorama, qu’on a bien le temps d’admirer.


Le col, ou nous arrivons sans encombres, sur une route toujours majoritairement sèche mais piégeuse si conduite trop vite.


Dans la descente vers Bonneval :

Les nuages au loin nous inquiètent un peu !

Arrivée à Bessans, ils font marcher les canons à neige !!

Col de la Madeleine :

Puis c’est la montée vers le col du Mont Cenis qui commence sur du joli bitume sec, j’attaque un peu. La voiture est remarquablement stable, parfaite. Puis je vois des flocons ! Il neige ! Zut…
Finalement la neige n’aura pas duré très longtemps mais je dois ralentir fortement le rythme, par peur de glisser sur une route un peu trop luisante à mon goût. Surtout qu’il fait -4 !
On arrive au col, au ralenti :

Puis c’est un gros blizzard, on ne voit pas à 200 mètres, on ne voit pas le lac. La neige et le givre virevoltent sur la route qui accroche quand même pas mal. Je roule à 50 sans problème, les deux mains sur le volant quand même

Voilà une idée de ce que j’ai traversé :

Et voilà l‘Italie ! Avec toujours du givre sur la route.

Côté italien on rejoint rapidement l’autoroute du Turin puis celle vers Piacenza et Bologne. La route n’a aucun intérêt, et je n’ai aucun éclaireur. Les italiens roulent quand même plus vite que les français donc je les suis.

Pause déjeuner à Piacenza où nous restons quelques heures pour faire le tour de la vieille ville :



Et on finit par le tronçon Piacenza – Bologna qui est HORRIBLE ! Une succession de radars tronçons, sans discontinuer. Donc : 160 km au régulateur à 130, comme tout le monde. Heureusement qu’on est deux, sinon je m’endormirais !

L’arrivée à Bologne se fait sous la pluie, et les photos prises la nuit du centre-ville ne rendent rien, donc je posterai des photos de jour.
Un très bel hôtel, à 15 minutes du centre-ville à pied, que je recommande fortement :

nous conclurons que c'est remarquable, et que le meilleur est à venir : la traversée du mugello:autoroute(bien améliorée après Sasso Marconi) ou nationale? descente sur Firenze? Firenze -Siena par la 4voies à 90 (molto pericolosa) o la SS222 à travers le Chianti?
merci de nous faire rêver,fin octobre ce voyage ne manque pas d'originalité par les cols alpins
merci de nous faire rêver,fin octobre ce voyage ne manque pas d'originalité par les cols alpins
Membre cotisant
n°2319




Membre cotisant
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Message original : tomblan
nous conclurons que c'est remarquable, et que le meilleur est à venir : la traversée du mugello:autoroute(bien améliorée après Sasso Marconi) ou nationale? descente sur Firenze? Firenze -Siena par la 4voies à 90 (molto pericolosa) o la SS222 à travers le Chianti?
merci de nous faire rêver,fin octobre ce voyage ne manque pas d'originalité par les cols alpins
La route du Chianti est prévue :)
Pour la descente vers Florence, je ne sais pas encore celle par laquelle je vais passer : S63, S62, S45 ?
Pour la descente vers Florence, je ne sais pas encore celle par laquelle je vais passer : S63, S62, S45 ?
une vue inoubliable sur LA ville depuis san Francesco; et dans les lacets ,en descendant ,un glass à la Villa San Michele?
et.. et...
Message original : thierry3.2
si tu passe par Vérona pense a passer le bonjour a Roméo et Juliette![]()
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J'avais fait Milan, Gène, Pise, Florence, Saint Marin, Venise, Vérone, lac majeur puis le lac de garde
Niveau restaurant, si tu passes par Côme, je conseille Il solito posto.
Après au milieu je ne m'en souviens plus, il faudrait que je reprenne le michelin 2009 qui m'avait servi.
La route qui m'avait le plus marqué était le passage de Florence à Saint Marin via Poppi, avec le GPS qui nous avait fait prendre le plus court chemin, et on s'est retrouvé sur de petites routes magnifiques ... mais ça n'est pas sur ton trajet.
Attention aux PVs, chez eux c'est cher. J'ai reçu un an après y être passé, deux PV: un à Florence pour être passé sur une partie autorisée seulement aux riverains, puis un pour un excès de 20 à 30km sur le pont qui mène à Venise. Le deuxième m'a coûté environ 160 euros. C'était avec une voiture de location italienne, et je te souhaite d'être plus chanceux avec ta plaque française

[Édite le 25-10-2011 par scout]