https://www.club911.net/viewtopic.php?t=99154
Message original : MR QUESTEL
Oups, nos pensées se sont croisées
Merci Beaucoup![]()
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Dis moi, elles sont en raw ou pas ?
A+
[Édite le 17-6-2010 par MR QUESTEL]
Message original : 2beGT2Message original : MR QUESTEL
Oups, nos pensées se sont croisées
Merci Beaucoup![]()
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Dis moi, elles sont en raw ou pas ?
A+
[Édite le 17-6-2010 par MR QUESTEL]
les photos sont en RAW a l'origine(15 Mpixels) , mais réduites et en JPG pour l'affichage pour le forum (perte de netteté, de contraste, dynamique des couleurs...) .
Je peux t'en envoyer quelques unes par email en grand format (JPG quand meme)![]()
Message original : revio
Inspection des moteurs en GT2:
http://auto-racing.speedtv.com/article/ ... not-final/
[Édite le 22-6-2010 par revio]
Le premier d’entre eux était intervenu de manière précoce, dès la troisième heure de course. Après être rentrée au stand avec une inquiétante fumée à l’avant gauche, la 908 HDi n°3 n’était jamais repartie. « Nous avons identifié un problème de qualité de fabrication de la coque au niveau de la fixation du triangle de suspension inférieur avant droit » explique Bruno Famin. « Cette coque, qui a notamment remporté les 24 Heures du Mans 2009 et les 1000 km de Spa 2010, était – comme tous les châssis 908 – régulièrement contrôlée dans nos ateliers à l’aide de moyens sophistiqués qui nous permettent de détecter des vieillissements ou des endommagements du carbone. C’est ici une malfaçon totalement indétectable qui a provoqué la rupture prématurée et brutale de la fixation. »
Les trois autres Peugeot avaient également abandonné, mais plus tard. Au petit matin, sur les coups de 7h, la n°2 s’était immobilisée en bord de piste, pour le plus grand désarroi de Franck Montagny. Si cela avait pu paraître, dans un premier temps, une perte isolé, les retraits de la n°3, puis de la n°4, avaient logiquement attiré l’attention et il ne faisait guère de doute que la cause était similaire. Les propos de Bruno Famin vont dans ce sens : « Nous avons très rapidement eu la confirmation que les trois avaient souffert du même problème : une bielle cassée, mais sur des cylindres différents. Des investigations approfondies viennent de mettre en lumière que les conditions particulièrement sévères rencontrées au Mans cette année ont généré une surcharge fatale de notre V12. Effectivement, la piste avait globalement beaucoup de grip. Le taux de pleine charge a donc été plus élevé qu’escompté. Par ailleurs, la température ambiante est restée fraîche et, contrairement aux années précédentes, les échangeurs air/air ne se sont pas encrassés. Le remplissage, et donc les performances du moteur sont restés élevées toute la course. Certes ces conditions étaient les mêmes pour tous les concurrents mais cette année nous utilisions de nouvelles bielles que nous avions pourtant longuement éprouvées au banc moteur et à l’occasion des nombreuses simulations sur piste. »
http://endurance-info.com/version2/actu ... -4772.html