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kal24E a écrit : Y a un boule de remorque, donc encore 2 motos sur la remorque, les pièces de rechanges et les outils entre les motos et les pneus sur le toit. Roule ma poule ...

RD
rodolfo dillavar a écrit : Bjr
Question aux spécialistes nombreux sur ce topic :
Les pilotes de l'époque des 500 deux temps parlaient de moteurs "screamer" et "big bang"...que signifiaient ces termes ?
Merci pour vos réponses..
RD
Le « screamer » (je ne te fait pas l’affront de la traduction

Le « big bang », de son côté, à des explosions de ses différents cylindres très rapprochées (toutes regroupées tous les 10° par exemple, puis plus rien jusqu’à la fin du cycle de rotation) et se comporte, un peu pour schématiser, comme une sorte de « gros mono ».
Les caractéristiques de couple et de puissance sont bien différentes pas tant en spécifique (quoique la Pmax du screamer soit théoriquement supérieure) mais surtout dans la façon dont ils sont délivrés avec des conséquences importantes sur la traction et l’usure du pneu Ar notamment.
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Sinclar a écrit :Cela fait référence au calage du moteur.rodolfo dillavar a écrit : Bjr
Question aux spécialistes nombreux sur ce topic :
Les pilotes de l'époque des 500 deux temps parlaient de moteurs "screamer" et "big bang"...que signifiaient ces termes ?
Merci pour vos réponses..
RD
Le « screamer » (je ne te fait pas l’affront de la traduction) a des explosions bien réparties sur un cycle complet favorisant ainsi les hauts régimes et donnant ce son caractéristique.
Le « big bang », de son côté, à des explosions très rapprochées (toutes regroupées tous les 10° par exemple, puis plus rien jusqu’à la fin du cycle de rotation) et se comporte, un peu pour schématiser, comme une sorte de « gros mono ».
Les caractéristiques de couple et de puissance sont bien différentes pas tant en spécifique (quoique la Pmax du screamer soit théoriquement supérieure) mais surtout dans la façon dont ils sont délivrés avec des conséquences importantes sur la traction et l’usure du pneu Ar notamment.

Grand merci pour ces explications précises ..

RD
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Sinclar a écrit : Définitivement une autre époqueavec des choses impensables aujourd’hui !
Le grand Barry, avec son casque à la mentonnière percée pour s’en griller une en pré grille, ça aussi c’est mythique
![]()

Il y a 45 ans ... !
Après s’être déroulé à Charade et au Castelet, 1976 marquait le retour du Grand Prix de France au Mans.
Côtés motos, les usines MV Agusta, Suzuki et Yamaha s’étaient officiellement retirées des Grands Prix. En fait, Agostini, Sheene et Cecotto en disposaient quand même, sous couvert de teams privés ou d’importateurs. Les MotoGP s’appelaient alors des 500cc, les Moto2 des 250 ou 350cc et les Moto3 des 125cc, sans oublier les 50cc et les Side-Cars.
Côté pilotes, Marc Márquez pourrait ressembler à Johnny Cecotto, un gamin vénézuélien de tout juste 19 ans, qui raflait tout sur son passage en 250 et 350cc. En ce temps là, les “Fantastic Four” n’étaient que trois, Sheene, Read et Agostini, avec peut-être Marco Lucchinelli, 1’41.7 ... record de la piste sur le Bugatti, la nouvelle révélation italienne dans le rôle de Maverick Viñales.
En ce temps là, Suzuki dominait la catégorie reine. A l’exception de Cecotto avec une Yamaha importateur et du roi Ago sur sa MV4 “Marlboro”, tous les ténors en étaient équipées.
En ce temps là, les box bariolés aux couleurs des sponsors n’étaient que des bicoques et le paddock du ciment et de l’herbe. Le mot “hospitality” n’avait aucun sens. En ce temps là, les pilotes étaient des hommes, plus que des panneaux publicitaires, et la passion remplaçait souvent l’argent nécessaire. Les privés constituaient l’essentiel du plateau, en faisant le déplacement sans être certains d’être engagés.
En ce temps là, Bridgestone n’avait pas encore racheté Firestone et n’avaient aucune expérience de la compétition, mais les hommes de Michelin étaient déjà là.
En ce temps là, il n’y avait pas de Traction Control, de Launch Control ou de Holeshot Device, mais juste une poignée de gaz à tourner, avec la main et l’aide des “cojones”.
En ce temps là, les noms étaient Sheene, Read, Agostini et Cecotto, bien sûr, mais aussi Lucchinelli , Findlay, Estrosi, Villa, Bonera, Ballington, Ferrari, Palomo, Pons, Sarron, Soussan, Fernandez, Fau, Newbold, Herron, Bonera, Bianchi, Pileri, Ferrari, Lansivuori, Korhonen, Mortimer, Rougerie, Katayama, Baldé, Coulon (Philippe, pas Guy), Choukroun, Boinet, Husson, French, Pileri, Braun, Nieto, et bien d’autres. Un petit nouveau du nom de Raymond Roche, issue du Championnat de France, réalisait la pôle en 350.
En ce temps là, il n’y avait pas de portique électronique pour accéder au paddock et côtoyer ses idoles. Toucher les machines de courses et discuter avec les préparateurs et pilotes était possible, voir boire une bière avec eux. Temps béni de l’insouciance et de la convivialité.
Après s’être déroulé à Charade et au Castelet, 1976 marquait le retour du Grand Prix de France au Mans.
Côtés motos, les usines MV Agusta, Suzuki et Yamaha s’étaient officiellement retirées des Grands Prix. En fait, Agostini, Sheene et Cecotto en disposaient quand même, sous couvert de teams privés ou d’importateurs. Les MotoGP s’appelaient alors des 500cc, les Moto2 des 250 ou 350cc et les Moto3 des 125cc, sans oublier les 50cc et les Side-Cars.
Côté pilotes, Marc Márquez pourrait ressembler à Johnny Cecotto, un gamin vénézuélien de tout juste 19 ans, qui raflait tout sur son passage en 250 et 350cc. En ce temps là, les “Fantastic Four” n’étaient que trois, Sheene, Read et Agostini, avec peut-être Marco Lucchinelli, 1’41.7 ... record de la piste sur le Bugatti, la nouvelle révélation italienne dans le rôle de Maverick Viñales.
En ce temps là, Suzuki dominait la catégorie reine. A l’exception de Cecotto avec une Yamaha importateur et du roi Ago sur sa MV4 “Marlboro”, tous les ténors en étaient équipées.
En ce temps là, les box bariolés aux couleurs des sponsors n’étaient que des bicoques et le paddock du ciment et de l’herbe. Le mot “hospitality” n’avait aucun sens. En ce temps là, les pilotes étaient des hommes, plus que des panneaux publicitaires, et la passion remplaçait souvent l’argent nécessaire. Les privés constituaient l’essentiel du plateau, en faisant le déplacement sans être certains d’être engagés.
En ce temps là, Bridgestone n’avait pas encore racheté Firestone et n’avaient aucune expérience de la compétition, mais les hommes de Michelin étaient déjà là.
En ce temps là, il n’y avait pas de Traction Control, de Launch Control ou de Holeshot Device, mais juste une poignée de gaz à tourner, avec la main et l’aide des “cojones”.
En ce temps là, les noms étaient Sheene, Read, Agostini et Cecotto, bien sûr, mais aussi Lucchinelli , Findlay, Estrosi, Villa, Bonera, Ballington, Ferrari, Palomo, Pons, Sarron, Soussan, Fernandez, Fau, Newbold, Herron, Bonera, Bianchi, Pileri, Ferrari, Lansivuori, Korhonen, Mortimer, Rougerie, Katayama, Baldé, Coulon (Philippe, pas Guy), Choukroun, Boinet, Husson, French, Pileri, Braun, Nieto, et bien d’autres. Un petit nouveau du nom de Raymond Roche, issue du Championnat de France, réalisait la pôle en 350.
En ce temps là, il n’y avait pas de portique électronique pour accéder au paddock et côtoyer ses idoles. Toucher les machines de courses et discuter avec les préparateurs et pilotes était possible, voir boire une bière avec eux. Temps béni de l’insouciance et de la convivialité.
Tout gamin...mon père m'emmenait voir le GP à Charade 
Fin des années 60, début des années 70....que c'est loin tout ça...

Fin des années 60, début des années 70....que c'est loin tout ça...

Musée de l'Aviation Militaire de Lyon Corbas
Fouga, T33, Alphajet PAF, Ouragan, Mystère IV, SMB2, Alizé, Etendard IV, Jaguar, Mirage III, IV, F1, 2000,...
Fouga, T33, Alphajet PAF, Ouragan, Mystère IV, SMB2, Alizé, Etendard IV, Jaguar, Mirage III, IV, F1, 2000,...
Zoulou 72 a écrit : Il y a 45 ans ... !
Après s’être déroulé à Charade et au Castelet, 1976 marquait le retour du Grand Prix de France au Mans.



Avec 75, 77 et 78, ce fut pour moi une overdose de suivi de courses



Et effectivement, c'était peut être moins spectaculaire que de nos jours (surtout pour la moto3) mais beaucoup moins "aseptisé" au niveau de l'environnement et de l'ambiance



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...étant largement plus jeune

Première "grande" balade en 125K5 avec les gros cubes du MC Levallois, premier circuit et premier barbecue improvisé...éteint par les pompiers


et participé à une grande partie de ceux du Castellet
Une vraie semaine de vacances, tout frais payés
Commissaire FFM stands et surveillance de la piste (éviter le changement de motos...très tentant de nuit après chute ou casse) et accessoirement aider à ramasser rapidement les blessés et débris sur la trajectoire: un peu glauque parfois en cas de décès


et surtout les camions Ricard et Total assuraient l'intendance avec brio (nos pétrolettes 125 de l'organisation pétaient le feu, roulant au "spécial"...et nous aussi)

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n°2443




Zoulou 72 a écrit : Il y a 45 ans ... !
Après s’être déroulé à Charade et au Castelet, 1976 marquait le retour du Grand Prix de France au Mans.
Côtés motos, les usines MV Agusta, Suzuki et Yamaha s’étaient officiellement retirées des Grands Prix. En fait, Agostini, Sheene et Cecotto en disposaient quand même, sous couvert de teams privés ou d’importateurs. Les MotoGP s’appelaient alors des 500cc, les Moto2 des 250 ou 350cc et les Moto3 des 125cc, sans oublier les 50cc et les Side-Cars.
Côté pilotes, Marc Márquez pourrait ressembler à Johnny Cecotto, un gamin vénézuélien de tout juste 19 ans, qui raflait tout sur son passage en 250 et 350cc. En ce temps là, les “Fantastic Four” n’étaient que trois, Sheene, Read et Agostini, avec peut-être Marco Lucchinelli, 1’41.7 ... record de la piste sur le Bugatti, la nouvelle révélation italienne dans le rôle de Maverick Viñales.
En ce temps là, Suzuki dominait la catégorie reine. A l’exception de Cecotto avec une Yamaha importateur et du roi Ago sur sa MV4 “Marlboro”, tous les ténors en étaient équipées.
En ce temps là, les box bariolés aux couleurs des sponsors n’étaient que des bicoques et le paddock du ciment et de l’herbe. Le mot “hospitality” n’avait aucun sens. En ce temps là, les pilotes étaient des hommes, plus que des panneaux publicitaires, et la passion remplaçait souvent l’argent nécessaire. Les privés constituaient l’essentiel du plateau, en faisant le déplacement sans être certains d’être engagés.
En ce temps là, Bridgestone n’avait pas encore racheté Firestone et n’avaient aucune expérience de la compétition, mais les hommes de Michelin étaient déjà là.
En ce temps là, il n’y avait pas de Traction Control, de Launch Control ou de Holeshot Device, mais juste une poignée de gaz à tourner, avec la main et l’aide des “cojones”.
En ce temps là, les noms étaient Sheene, Read, Agostini et Cecotto, bien sûr, mais aussi Lucchinelli , Findlay, Estrosi, Villa, Bonera, Ballington, Ferrari, Palomo, Pons, Sarron, Soussan, Fernandez, Fau, Newbold, Herron, Bonera, Bianchi, Pileri, Ferrari, Lansivuori, Korhonen, Mortimer, Rougerie, Katayama, Baldé, Coulon (Philippe, pas Guy), Choukroun, Boinet, Husson, French, Pileri, Braun, Nieto, et bien d’autres. Un petit nouveau du nom de Raymond Roche, issue du Championnat de France, réalisait la pôle en 350.
En ce temps là, il n’y avait pas de portique électronique pour accéder au paddock et côtoyer ses idoles. Toucher les machines de courses et discuter avec les préparateurs et pilotes était possible, voir boire une bière avec eux. Temps béni de l’insouciance et de la convivialité.


C'est dommage que les side aient disparu de la scène des Grands Prix...
Les compétitions clients formaient une grande partie de l'effectifs motos avec possibilités de s'exprimer pour les jeunes pilotes..